lundi 5 septembre 2011

Le Mystère Jésus

La Souffrance Cosa Mental
L’être humain court après le bonheur et fuit la souffrance, c’est la condition humaine.
Il est ainsi étonnant de remarquer que certains, eux, cherchent la souffrance et la majorité de les marginaliser dans la catégorie masochiste. Les fakirs s’assoient sur des clous, d’autres marchent sur des braises, des jeunes filles africaines se font fouetter à en garder les traces toute leur vie, des moines gravissent des collines en tirant de lourdes pierres, les catholiques de l’association Opus Dei pratiquent le jeune et autres formes de résistance à la souffrance. Mais pour ces derniers il ne s’agit pas d’endurer les souffrances du Christ, les pratiques d’affrontement de la souffrance ont été découvertes bien avant le christianisme et se retrouvent encore aujourd’hui sur toute la planète, dans toutes les cultures.
Un jour impossible à situer dans l’histoire, l’homme a découvert la relation entre montée en puissance du cerveau et souffrance. Il n’y a pas de truc à marcher sur des braises, le but est de brûler la plante des pieds. Cette pratique génère trois types de souffrance, la première celle de la brulure est extrêmement intense c’est la phase puissance, la deuxième diffuse s’étale sur plusieurs jours c’est la phase endurance, la troisième intervient lors de la remise sur pied c’est la phase résistance.
Il ne fait pas sens que Jésus ait utilisé Judas pour se suicider et mourir pour les pécheurs, si il pense être le Messie il est alors dans le devoir d’accomplir sa mission : précher l’amour de son prochain pour faire changer l’empire romain ; par contre il fait sens qu’il pensait n’avoir à subir qu’un châtiment comme le fouet pour démontrer une résistance surnaturelle à la souffrance et convertir ses plus farouches opposants.






Le Messie et les Fakirs.


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